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FAQ - Foire Aux Questions

Frequently Asked Questions

  • Fonctionnement de la rubrique FAQ
    La FAQ (foire aux questions ou frequently asked questions) répond aux questions les plus fréquentes de nos clients (ou des internautes qui nous consultent). Les questions sont classées par thèmes. Cliquez sur le thème souhaité et cherchez la réponse à votre question. Si vous ne trouvez pas la réponse, contactez-nous ou utilisez le formulaire en bas de page pour nous adresser votre requête. Nous traiterons votre demande dans les meilleurs délais (publication sur nos pages ou réponse par e-mail). N'hésitez pas à nous adresser vos suggestions.
  • Permis de Construire (PC) ou Déclaration Préalable de Travaux (DP) ?
    La Déclaration Préalable de Travaux est un permis de construire (au sens 'autorisation'), qui bénéficie de quelques aménagements. Ce n'est pas toujours une procédure allégée ou simplifiée, contrairement aux apparences. Tout dépend du type de projet que vous souhaitez réaliser. Pour être éligible à la DP, votre projet doit : Soit faire moins de 20 m² (extension ou transformation de garage en studio, par exemple), quelle que soit la surface totale (existant + projet). Soit faire entre 20 et 40 m², mais avec une surface totale inférieure au seuil de 150 m². Les travaux doivent être contigus avec un bâtiment existant. Les constructions non contigues (indépendantes) ne sont pas éligibles à la DP. Le terrain doit être situé dans une zone urbaine (zone "U"). Les "surfaces" sont exprimées en "surfaces plancher". Voir la FAQ correspondante. Exemples de constructions éligibles (selon surfaces) : garage accolé extension, ou véranda rehausse, surélévation (création d'un étage) aménagement de caves et combles modifications de façades piscines couvertes, piscines non couvertes de moins de 100 m² serres de plus de 180 cm de hauteur etc. Exemples de constructions non éligibles et donc soumises à Permis de Construire : abris de jardin isolés pool-houses bûchers chalets etc. Si votre terrain est situé dans une zone urbaine réglementée par le RNU (règlement national d'urganisme) ou par une carte communale, vous devez déposer un permis de construire et non une DP. Dans tous les cas, le délai d'instruction est accéléré - vous pouvez donc démarrer vos travaux plus rapidement - même si votre projet est situé dans une zone réglementée dite "bâtiments de France". Important : n'oubliez pas le délai de recours des tiers (voir l'article) et le risque d'erreur d'instruction (voir l'article). Dans certains cas, les documents demandés peuvent être moindres : modification de façade modification de toiture ajout de Vélux création de terrasses création d'une piscine etc. Les services instructeurs sont en mesure d'indiquer les documents dont ils souhaitent bénéficier pour instruire les dossiers. Les honoraires pour la constitution d'un dossier 'allégé' seront inférieurs à ceux d'un permis de construire standard. Dans d'autres cas, le dossier sera parfaitement identique à celui d'un permis de construire : construction d'une extension pool-house garage etc., Mais vous bénéficierez d'un délai d'instruction plus court. Enfin, la règlementation "RT2012" est allégée et bien moins contraignante (pour l'instant, car la réglementation est amenée à changer). Les frais liés à la réalisation de l'étude thermique sont donc généralement inférieurs.
  • Le seuil de 150 m² (recours obligatoire à l'architecte)
    Si votre projet dépasse 150 m² de surface plancher, le recours à l'architecte est obligatoire. Vous trouverez tous les éléments utiles sur le forum, dans un article du même nom.
  • Qu'est-ce que le Recours des Tiers ?
    Le recours des tiers est le droit de contester la légalité d'une autorisation à bâtir, dans le but de l'annuler. En théorie, c'est un recours contre la mairie qui a délivré l'autorisation. En réalité, c'est le demandeur (celui qui a déposé le permis) qui trinque. Pour contester la légalité d'une autorisation, il faut prouver que la réglementation n'a pas été respectée (et non simplement être faché avec son voisin ou estimer que son projet est déplaisant). Seuls les voisins immédiats bénéficient de ce droit de recours des tiers. Il est donc important, dans la mesure du possible, de s'assurer que le voisinage proche valide et accepte votre projet. Si vous pouvez réunir vos voisins et leur exposer votre projet avant le dépôt de votre permis en mairie, faites-le. Pour cela, une représentation lisible de votre projet (plans, vues des façades et idéalement vues 3D réalistes) sera bien utile. Et cerise sur le gâteau, si vous parvenez à faire signer un accord de principe à vos voisins (lettre d'intention et documents graphiques), vous réduisez le risque qu'ils intentent un recours par la suite (et vous pourrez plus aisément le contrer). En particulier si vous prévoyez de faire une demande de dérogation (et donc que votre projet n'entre pas totalement dans le cadre de la réglementation), l'accord écrit de vos voisins sera précieux bénéfique - et vous pourrez l'ajouter à votre demande. L'objectif des services instructeurs et des mairies en particulie est d'une part de faire respecter la réglementation, d'autre part de gérer le risque d'éventuelles poursuites à leur encontre - procédures qui engagent parfois d'importantes sommes financées par le contribuable... et donc malvenues. L'accord préalable de vos voisins (et donc des "tiers" qui pourraient "recourrir") rassure les mairies dans leur quête du risque minimum. Pour gagner son recours, le voisin devra prouver que les travaux affectent les conditions d'occupation, d'utilisation et de jouissance de son bien ou de sa propriété - tout en démontrant que les travaux ne sont pas conformes aux règles d'urbanisme. C'est une des raisons pour lesquelles les services d'urbanisme et les mairies n'accordent que très rarement de dérogations. Elles risquent des poursuites et devront justifier de ces autorisations "hors règlement". Un voisin qui fonderait son recours uniquement sur un désagrément ou un trouble de jouissance, sans autre justification, s'exposerait au paiment de dommages et intérêts pour recours abusif. Toutefois, il ne faut pas négliger le risque d'un tel recours, qui peut avoir de graves conséquences (amendes, démolition, etc.). Comment éviter de tels recours ? Tout d'abord en concevant un projet qui respecte scrupuleusement les règles d'urbanisme et qui rend donc théoriquement le projet inattaquable. Il faut donc se faire assister d'un professionnel compétent et expérimenté. Car les mairies (et autres services administratifs) ne sont pas infaillibles et peuvent rater certaines irrégularités (ce qui justifie d'ailleurs l'existance du recours des tiers...). Ne pas démarrer ses travaux avant que le délai de recours ait été purgé, c'est à dire pas avant deux mois et trois jours ouvrés - et la confirmation de la mairie. Le tiers (votre gentil voisin) peut en effet déposer un recours jusqu'au dernier jour du délai - il faut donc attendre deux ou trois jours pour confirmer qu'aucun courrier recommandé n'a été reçu par la mairie. Respecter scrupuleusement l'affichage obligatoire (conformité du panneau et des informations qu'il contient) et le délai de deux mois. Il faut pouvoir prouver que l'affichage est réglementaire et surtout qu'il a bien eu lieu durant deux mois continus (ce qui est techniquement impossible, en réalité - voir ci-dessous). Si l'affichage n'est pas correct, le bénéficiaire du permis s'expose à des recours jusqu'à un an après la fin des travaux ! Vous pouvez prendre le panneau en photo (de près et de loin) et recueillir des témoignages écrits sur l'existance de votre panneau. Vous pouvez faire appel à un Huissier de Justice pour constater l'affichage - et certaines mairies peuvent même accepter de constater l'affichage et valider sa conformité. Il est impossible de prouver que l'affichage a été "continu" durant deux mois. En effet, un voisin mal intentionné peut retirer votre panneau en votre absence, prendre une photographie ou un témoignage, et réinstaller le panneau. Il pourra donc prétexter que l'affichage n'a pas été continu et disposer d'un délai supplémentaire pour sa procédure de recours (ce qui bloque votre projet et peut générer des coûts et des désagréments monumentaux). Il faut donc, dans la mesure du possible, installer le panneau d'une manière qui le rend difficile à démonter ou inaccessible. Il existe deux types de recours : le recours gracieux et le recours contentieux. Le recours gracieux est déposé en mairie et le maire dispose de deux mois pour accepter ou rejetter le recours. En cas de rejet, le recours contentieux est possible devant le tribunal administratif, qui dispose de 18 mois pour statuer. Si le recours est fondé (votre voisin obtient gain de cause), votre autorisation est annulée et vous risquez une amende journalière jusqu'à mise en conformité si vous aviez démarré les travaux. C'est pour cela qu'il est impératif d'attendre la fin du délai de deux mois avant de bâtir, sous peine de démolition en cas de recours gagnant.
  • Démolir pour reconstruire : faut-il une autorisation ?
    Si vous démolissez pour reconstruire (même à l'identique et avec la même surface), l'administration considère tout simplement que c'est une construction neuve. Il ne saurait donc être question d'une "rénovation" (qui ne nécessite généralement pas d'autorisation). Dès lors qu'un bâtiment est démoli, et que cette démolition est déclarée (ce qui est obligatoire), il faut considérer qu'il n'a jamais existé. "Reconstruire" n'est donc pas le terme adapté : il faut considérer que c'est une construction neuve, à l'emplacement ou existait auparavant une autre construction. Ce qui implique que la nouvelle construction doit respecter le règlement d'urbanisme actuel. Si l'ancienne construction était légale et conforme au moment de sa construction, elle pourrait ne pas être autorisée aujourd'hui. Ainsi, démolir pour reconstruire nécessite la plus grande prudence et une étude spécifique avant de démolir. Et ce même si l'ancien bâtiment est insalubre, structurellement instable (dangereux) ou qu'il a subi une catastrophe climatique. Toutefois, il existe la possibilité de faire une demande de dérogation - mais les services d'urbanisme font rarement d'exceptions : principe de précuation oblige...
  • Un permis peut-il être annulé après avoir été accordé ?
    Un permis de construire ou une déclaration préalable de travaux, pour lesquels une erreur d'instruction aurait été commise, peut être supprimé(e) dans un délai de 3 mois à compter de sa délivrance. Le cas est rare, mais l'erreur est humaine (encore faut-il la détecter). C'est le plus souvent à la suite d'une procédure de recours des tiers (voir article) que les erreurs éventuelles font sufrace. Cependant, l'aspect juridique d'une annulation de permis pour erreur d'instruction demeure complexe et nécessite l'aide d'un professionnel avisé (avocat, juriste). Car une fois lancée, l'arrêt d'une construction a des conséquences financières dramatiques.
  • Je transforme mon garage en chambre d'amis. Est-il possible de le faire sans autoration ?
    Un garage ne constitue pas de surface "plancher". Le transformer en pièce habitable entraine donc l'obligation de décralarion et une demande d'autorisation. Le remplacement de la porte de garage par une baie vitrée constitue une modification de façades, ce qui oblige également à déclarer. Si le garage est totalement invisible depuis la voie publique et votre voisinage, vous pouvez techniquement le faire sans autorisation. C'est illégal (mais très fréquent). Cela expose à d'importantes amendes, en particulier fiscales. En effet, vous devez déclarer les surfaces contruites (formulaire H1 des impôts). Toute fausse déclaration (ou omission) expose à des risques.
  • Dois-je déclarer ma mezzanine ?
    Si elle constitue de la surface "plancher", c'est à dire si l'intégralité ou une partie de la mezzanine offre une hauteur de plafond supérieure à 180 cm, alors elle doit être déclarée. Si la construction d'une mezzanine n'entraine aucune modification visible du bâtiment (fenêtre ou porte sur l'extérieur), alors il est impossible de savoir qu'elle existe (illégalement). En cas de revente, la maison ne serait pas conforme, ce qui peut compromettre la vente. N'oubliez pas d'installer des garde-corps aux normes de sécurité.
  • Faut-il compter les caves dans la surface plancher ?
    Malheureusement oui, si la hauteur sous plafond dépasse 180 cm. L'ancienne réglementation excluait les caves, mais depuis l'instauration de la "surface plancher", elle doivent être comptées. Cependant, certaines mairies ne sont pas en accord avec le principe d'habitabilité d'une cave et peuvent fermer les yeux. D'autres n'appliquent ou ne connaissent pas ce détail du règlement. Enfin, il est assez aisé de déclarer tout ou une partie de votre cave en garage à vélos ou ateliers, qui ne comptent pas dans le calcul. Par principe, une cave très saine qui pourrait aisément être transformée en espace habitable, doit être comptée dans la surface globale. Une cave humide, sombre, sans fenêtres ou ouvertures sur l'extérieur... moins. Dans ce cas, présentez quelques photos à votre service urbanisme et demandez-leur la position à adopter.
  • Durée de validité d'un permis de construire ?
    Un permis de construire est valable 3 ans. Vous avez donc 3 ans pour démarrer vos travaux. Vous ne devez pas interrompre vos travaux plus d'un an, ce qui invaliderait le permis. Vous pouvez demander deux prolongations d'un an, ce qui porte à 5 ans la durée maximale de validité d'un permis de construire.
  • Une cabane de moins de 5 m² sans permis ?
    En-dessous de 5 m², une construction ne nécessite aucune autorisation (à condition que sa hauteur ne dépasse un certain seuil. Toutefois, la construction doit respecter le règlement d'urbanisme - même sans obligation d'autorisation.
  • Puis-je effectuer des modifications sur mon projet en cours de route ? Quel impact sur les honoraires ?
    Lors des phases de conception, nous suivons scrupuleusement le programme élaboré conjointement. Cependant, le projet prenant forme peu à peu sous vos yeux, il est possible que vous souhaitiez y apporter des modifications - c'est tout à fait normal et rien ne doit contrarier ces évolutions. Il est également possible (et fréquent) que nous suggérions des ajouts, des modifications ou autres améliorations. Nos contrats incluent des phases modificatives gratuites durant le processus de conception. Nous considérons qu'un projet doit pouvoir évoluer et épouser vos souhaits en toutes circonstances. Notre phylosophie consiste à vous apporter pleine et entière satisfaction. Ces modifications ne doivent cependant pas revêtir un aspect "majeur" - c'est à dire sortir fondamentalement du cadre du cahier des charges préalablement défini. Le programme doit donc être mûrement réflêchi et étudié avec le plus grand soin durant les phases préparatoires. __________ EXEMPLE : Extension d'un villa Programme : Extension de 25-27 m² pour la création d'une cuisine et d'une buanderie. Orientation Est-Ouest pour un ensoleillement matinal optimisé. Forme rectangulaire allongée pour la création d'une grande baie horizontale donnant vue sur le jardin (côté Ouest). Toit terrasse accessible par l'étage pour la création d'un solarium avec chaises longues. Acces par le bâtiment existant sans marches (de niveau). Chauffage au sol, ... Modifications "mineures" gratuites (incluses dans le contrat) : - modification de l'agencement de l'extension - agrandissement de l'extension de quelques m² pour créer un bar - modification de l'agencement de la cuisine - agrandissement ou modification de la forme de la baie vitrée - ajout d'une porte à la buanderie pour accéder à l'étendoir à linge extérieur - modification de l'agencement de la buanderie pour ajouter un congélateur - ajout d'un skydôme - ajout de poutres décoratives - ajout d'une terrasse - etc. Modification "majeures" : - rehausse du bâtiment - agrandissement important (passage de 27 m² à 35 m² ayant pour conséquence une modification majeure des façades, de la toiture et de l'agencement intérieur - remplacement du toit terrasse par un toit à deux pans. - transformation du projet d'extension en une véranda - création d'un séjour dans l'extension plutôt qu'une cuisine avec buanderie - modification de la forme de l'extension : mur Est arrondi - modification de l'orientation ou de la zone d'implantation de l'extension - chauffage par pompe à chaleur réversible en lieu et place du chauffage au sol - etc. __________ Une fois l'avant-projet (sommaire ou définitif) validé, les modifications éventuelles, majeures ou mineures, seraient facturées. Dans certains cas, des aléas (techniques, administratifs ou liés aux fournisseurs, par exemple) peuvent nécessiter un ajustement du projet dont nous ne sommes pas responsables. Dans ce cas, ils sortent du cadre de la gratuité. Enfin, certaines modifications telles qu'un changement de revêtement, de couleur, ou toute autre modification n'ayant pas (ou très peu) d'impact sur la conception du projet, sont généralement effectuées gratuitement, même après validation.
  • Les avis sont-ils authentiques et vérifiables
    Les avis de nos clients publiés sur ce site sont bien authentiques et vérifiables. En cas de besoin, si une demande de vérification est formulée (ce qui est rare), nous procédons à une mise en relation avec le client ayant laissé l'avis. Nous transmettons votre e-mail à notre client, qui peut ainsi prendre contact avec vous et confirmer l'authenticité de son avis. Nous n'intervenons pas dans ce processus, afin de respecter le caractère confidentiel de vos échanges.
  • Les réalisations présentées photos sont-elles bien les vôtres ?
    Les projets présentés dans nos pages "réalisations" ont tous été conçus par Kim Thanheiser. Le descriptif détaille le niveau d'intervention et les prestations réalisées (conception, permis de construire, suivi de travaux, etc.).
  • Comment sont calculés les honoraires ?
    Les honoraires sont libres. La prestation de service représente du temps de travail (et non une marchandise quantifiable). Plus le temps est important, plus le prix le sera. Certains facteurs accroissent le temps de travail et impactent logiquement la rémunération. Les variables sont : La taille du projet Sa complexité (personnalisation, équipements spécifiques, réglementation) Les charges (déplacements, véhicule, matériel, etc.) Afin d'estimer nos honoraires et produire un devis adapté au plus juste à votre projet, nous procédons systématiquement à une visite exploratrice des lieux et à la rédaction d'un cahier des charges (programme) complet et précis. Ainsi, nous pouvons estimer avec précision la charge de travail à produire. Nous réalisons certains projets 'à distance' - dans ce cas, un dossier photographique (ou vidéo) nous permet d'évaluer les besoins. Il est donc essentiel que vous nous transmettiez toutes les informations utiles et que vous nous guidiez avec précision dans la description de vos souhaits. La notoriété n'impacte pas nos honoraires. Notre cahier de commandes n'impacte pas nos honoraires. La situation financière de nos clients n'impacte pas nos d'honoraires. Sauf dans de rares cas où nous ajustons nos honoraires à la baisse pour permettre à des clients ayant de faibles moyens (et un projet que nous jugeons valable) d'avoir accès à nos prestations et à notre expérience. A contrario, nous n'augmentons pas nos honoraires en présence de projets haut de gamme ou d'une clientèle aisée. C'est le projet qui définit les honoraires et non le client. Les constructions neuves d'une surface importante ou d'une grande complexité peuvent être soumis aux honoraires proportionnels (un pourcentage du prix des travaux).
  • Pourquoi les paiements sont-ils à établir à l'ordre de Kim Thanheiser et non Riviera Home Design ?
    L'atelier RIVIERA HOME DESIGN est immatriculé sous le régime de l'auto-entreprise. Les échanges commerciaux se font ainsi en nom propre (le propriétaire) et non au nom de l'enseigne. Ce statut offre de nombreux avantages, dont l'exonération totale de TVA jusqu'à 33 000 € de chiffre d'affaires. Cette exonération est au bénéfice exclusif de nos clients. Pour garantir une continuité de cet avantage non négligeable (un écart de -10% à -20%), nous offrons la TVA lorsque le seuil de CA est dépassé. Contrairement aux sociétés traditionnelles (Sarl, Eurl, SAS, etc.) le temps de gestion administratif est réduit, ce qui augmente notre disponibilité et impacte les honoraires à la baisse. Ce nouveau statut permet ainsi d'oprimiser les prestations et la compétitivité. Contrairement aux idées reçues, ce régime spécifique n'a rien de précaire. Il engage les mêmes responsabilités, sans aucun impact sur le client (hormis l'avantage de l'exonération de TVA), à condition d'exercer seul.
  • Pouvez-vous réaliser des projets à distance ?
    Rien ne s'oppose à réaliser certains projets à distance. C'est le cas de plusieurs projets présentés dans nos références. Les moyens de communciation et de transmission de documents foisonnent et permettent une collaboration efficace et réactive. Comment procéder ? Le client effectue lui-même le relevé du bâtiment concerné. Nous fournissons des 'modes d'emploi' en pdf qui détaillent la procédure (à la porté de tous). Le client réalise un reportage photo. Là aussi, nous avons une procédure spécifique. Un simple smartphone suffit. L'Espace Clients de ce site permet la transmission, la diffusion et le stockage de tous les documents relatifs au projet (plans, PLU, contrats, etc.). Nous réalisons les plans à partir du relevé et du programme (cahier des charges). Les échanges de vive voix indispensables se font par téléphone, skype, whatsapp ou e-mail. Le client sollicite les artisans pour l'obtention des devis et nous transmet les documents que nous analysons ensuite. Les dossiers de permis de construire (ou DP) sont téléchargeables depuis l'Espace Clients, ou envoyés par e-mail. Nous pouvons également expédier les documents imprimés pour les clients ne disposant pas de solutions d'impression. D'ici peu les dossiers seront traités par la voie numérique et le papier ne sera plus utile. Quels sont les avantages ? Les inconvénients ? Les honoraires sont réduits (pas de déplacements, de rendez-vous, de réunions, etc.) Le 'process' créatif (la conception du projet) est identique. Le client doit (ou peut) choisir lui-même les entrepreneurs et les artisans. RHD vérifie et analyse les devis comme dans une mission habituelle. Le client gère lui-même la comptabilité de son chantier. Le client gère lui-même les échanges avec les intervenants. Le client gère lui-même son chantier (ou s'adjoint les services d'un professionnel local). RHD peut coacher le client durant le chantier (photos, vidéos, documents, etc. permettent de le faire aisément) - il n'est donc pas totalement livré à lui-même.
  • Constructeurs ou Artisans ?
    Selon vous, construire une maison est avant tout un acte d’achat et vous voulez voir ce que vous achetez avant de vous lancer ? Vous êtes rassuré à l’idée de choisir une maison standard déjà conçue ? Vous ne voulez pas vous embarrasser des détails et des coulisses ? Et vous ne demanderez pas de modifications par la suite ? Alors faites appel à un constructeur. Pour vous, construire une maison est d’abord un projet de vie, qui demande à être conçu pour vous et avec vous ? Vous souhaitez une opération transparente et être accompagné par un professionnel indépendant qui vous défend ? Une personnalisation des prestations sera forcément nécessaire selon vous ? Vous pensez que vous pourriez changer d’avis au cours de l’opération et demander des modifications ? Alors faites appel à un spécialiste indépendant et évitez les constructeurs.
  • Peut-on réduire les coûts en contactant les artisans sans plans détaillés et sans faire réaliser d'études préalables ?
    Tout propriétaire est soucieux d’obtenir le meilleur résultat pour le meilleur prix, et c’est bien normal. Vous pouvez donc être tenté de faire l’impasse sur la conception (plans précis et détaillés) et le dossier financier - et contacter directement chaque artisan. Voici pourquoi cette erreur peut vous coûter cher : Chaque artisan maîtrise son domaine (et généralement uniquement celui-ci) et il oubliera peut-être de vous conseiller sur d’autres travaux rendus nécessaires par son intervention, ce qui peut provoquer de graves oublis ou d'importantes complications. Il aura peut-être tendance privilégier son intérêt et cherchera à vous vendre ce dont vous auriez peut-être pu vous passer. Personne n'est infaillible et cela vaut également pour les artisans. Je respectre la qualité et les compétences hors normes de la majorité des artisans, mais il y a toujours des risques de dérapages ou tout simplement d'erreurs. Contacter directement un artisan pour lui demander un devis, sans étude précise ou d'intermédiaire expérimenté, va provoquer deux choses : l’artisan doit faire l’étude lui-même et inclut ce temps de travail supplémentaire dans son devis, ou pire, il ne fait pas l’étude et gonfle son devis pour prévenir le risque d’aléas. Réaliser des travaux peut sembler simple en apparence, mais chaque détail compte et peut avoir un coût - tout comme une omission ou un oubli peut générer des plus-values. Il n'est pas toujours possible de prévoir l'imprévisible ou d'anticiper d'éventuels aléas, mais l'expérience est un atout majeur. Il n'est pas rare qu'une demande de devis faite par un particulier, sans l'appui d'un spécialiste et sans dossier de conception (plans détaillés, descriptif), conduise à des devis augmentés de 20 à 30%.
  • Véranda ou construction en dur ?
    Fondamentalement, les vérandas sont à déconseiller : Elles sont chères (au m²). Elles nécessitent bien un permis de construire ou une déclaration préalable (contrairement aux arguments commerciaux des vendeurs). Elle ne sont pas pérennes. Aucune véranda de plus de 10 ou 15 ans ne survit correctement aux affres du temps. L'alu et le verre sont éternels, mais les assemblages ne le sont pas (visserie, joints, colles, peinture, etc.). Les modes changent et une véranda beige des années 90 paraît obsolète aujourd'hui. Le vitrage intégral et la structure métallique ont de multiples inconvénients : mauvais bilan thermique (quel que soit l'argument du vendeur), effet de serre, dilatation du métal, nettoyage des vitres, occultation très onéreuse, mauvaise résistance aux intrusions, etc. C'est une question de goût (on peut rêver d'une véranda !) et de rapidité de mise en oeuvre. Une fois les travaux préparatoires réalisés (fondations, dalle, canalisations et électricité), la véranda peut être installée en 48 heures (ne pas oublier le délai de fabrication parfois très long). En lieu et place d'une véranda (pour laquelle vous n'obtiendrez pas d'autorisation plus favorable qu'une construction en dur), il est plus judicieux de construire en dur (ou en bois) et d'y ajouter des baies vitrées et verrières de toiture qui sont 'remplaçables' en cas d'usure ou de casse - et qui assurent un éclairage quasi-équivalent. Il existe des vérandas haut de gamme qui peuvent répondre à des besoins techniques et esthétiques plus affirmés et des budgets plus conséquents. Attention : les vérandas sont à exclure des surfaces habitables mentionnées dans les baux de location. Si vous prévoyez de construire une véranda pour un logement locatif, elle n'apportera aucune augmentation de loyer.
  • Est-il préférable de transformer un garage ou des combles pour faire un studio à louer ?
    C'est une question qu'il faudrait d'abord poser à un agent immobilier, car l'objectif premier est de créer une rentabilité optimale. Les garages sont souvent accessibles directement par l'extérieur, alors que les combles nécessitent généralement une intrusion dans la maison. Les combles sont généralement plus onéreux à transformer qu'un garage, mais peuvent être plus originaux et spacieux. L'aménagement d'un garage entraine sa disparition en tant que tel. En cas de revente, l'absence de garage peut être préjudiciable. Dans les deux cas, un permis est obligatoire. Un garage peut être accessible à des personnes à mobilité réduite. De tels travaux peuvent bénéficier d'aides financières spécifiques. Les combles offrent rarement de vue et ne permettent pas d'aménager un espace extérieur. L'isolation phonique sera moins efficace dans les combles que dans un garage. Vous entendrez donc probablement vos locataires.
  • Les surfaces (plancher, emprise au sol, SHON, Carrez, habitable)"
    Plancher (définition du site service-public.fr) : La surface de plancher correspond à la somme des surfaces de tous les niveaux construits, clos et couvert, dont la hauteur de plafond est supérieure à 1,80 m. Elle se mesure au nu intérieur des murs de façades de la construction (c'est-à-dire à l'intérieur de la construction, d'un mur de façade à un autre). À partir de cette surface de plancher, certaines surfaces sont déduites pour obtenir la surface de plancher définitive. Surfaces correspondant à l'épaisseur des murs entourant les embrasures des portes et fenêtres donnant sur l'extérieur Vides et trémies qui correspondent aux escaliers et ascenseurs Surfaces de plancher d'une hauteur sous plafond inférieure ou égale à 1,80 mètre Surfaces de plancher aménagées pour le stationnement des véhicules motorisés ou non, y compris les rampes d'accès et les aires de manœuvres Surfaces de plancher des combles non aménageables pour l'habitation ou pour des activités à caractère professionnel, artisanal, industriel ou commercial (par exemple, plancher ne supportant pas un tel usage) Emprise au sol : L’emprise au sol correspond à une projection verticale du volume d’une construction, tous débords et surplombs inclus. Toutefois, les ornements tels que les éléments de modénature et les marquises sont exclus, ainsi que les débords de toiture lorsqu’ils ne sont pas soutenus par des poteaux ou des encorbellements. C'est donc la surface occupée au sol par la construction (pris à l'extérieur des murs) et par les éléments d'architecture venant en saillie (avancées en façade, loggias, vérandas, coursives, blacons, etc.) Il ne faut pas tenir compte des terrasses de plain-pied ou des avancées de toiture sans élément de soutien relié au sol (poteaux). Les appentis, abris de voiture, cabanes de jardin, ou carports sont à inclure dans l'emprise au sol. Attention : les piscines produisent également de l'emprise au sol (mais pas de surface plancher). La surface habitable : La surface habitable est la surface de plancher construite (y inclus les combles aménagés), dont il faut déduire les murs et cloisons, les marches et cages d'escaliers, les gaines, les embrasures de portes et de fenêtres, les balcons, les caves et sous-sols, les garages, les remises, les terrasses, les loggias, les vérandas et autres volumes vitrés, les locaux communs, les dépendances, et les zones d'une hauteur inférieure à 1,80 m. La surface Carrez : La surface Carrez et identique à la surface habitable, avec les écarts suivants : Les vérandas et loggias fermées sont inclus, à conditions d'être à usage privatif. Les caves, parkings et garages sont exlus, mais pas les autres sous-sols. Reste à définir la différence entre cave et sous-sol... Tous les combles et greniers sont inclus (améngés ou non). Les remises sont également à inclure. Si vous louez un logement et que vous constatez que la surface habitable réelle est au moins 5% inférieure à celle indiquée dans le contrat de location, vous pouvez demander un remboursement équivalent au pro-rata de la différence. Il en est de même en cas d'acquisition d'un bien en copropriété. Vous avez alors un an pour demander une diminution de prix au prorata du nombre de mètres carrés manquants. Cette action doit être engagée devant le tribunal de grande instance. La loi Carrez ne concerne que les locaux en copropriété. La surface Habitable s'applique dans le cadre d'une location ou de la vente d'un bien n'étant pas sous le régime de la copropriété. La SHON : La Surface Hors Oeuvre Nettre ne s'applique plus aujourd'hui. En résumé, c'est le même calcul que la surface plancher, mais prise au nu extérieur des murs de façade, et excluant les sous-sols non aménageables. La SHON est moyenne 10 à 15% supérieur à la surface plancher.
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